Song parody of
Chanson de nuit
by Caroline Savoie
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j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
une forteresse sous mes draps
et l’ennui craque sous mes pas
et les murs se renferment
la lune s’échappe de ma fenêtre
si les fantômes existent
c’est à cette heure qu’ils m’envahissent
j’ouvre la porte, prendre un peu d’air
pas le moindre signe d’un lampadaire
la nuit s’empare de mes os
la brise danse sur ma peau
rien qu’le ciel et ses étoiles
le silence me fait son spectacle
ne reste plus qu’des bouts d’histoires
qui baignent dans les trottoirs
je cours et je m’essouffle
je ne vois plus le bout d’la route
j’entends la tempête qui gronde
pas de lumière qui s’annonce
pas même l’ombre d’un phare d’auto
le calme rencontre le chaos
j’ai le bout des doigts qui tremblent
face au gouffre qui m’attend,
qui m’attend
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
une forteresse sous mes draps
et l’ennui craque sous mes pas
et les murs se renferment
la lune n’est plus, le jour se lève
j’ai le cœur en suspens
face à l’aube qui s’étend
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
une forteresse sous mes draps
et l’ennui craque sous mes pas
et les murs se renferment
la lune s’échappe de ma fenêtre
si les fantômes existent
c’est à cette heure qu’ils m’envahissent
j’ouvre la porte, prendre un peu d’air
pas le moindre signe d’un lampadaire
la nuit s’empare de mes os
la brise danse sur ma peau
rien qu’le ciel et ses étoiles
le silence me fait son spectacle
ne reste plus qu’des bouts d’histoires
qui baignent dans les trottoirs
je cours et je m’essouffle
je ne vois plus le bout d’la route
j’entends la tempête qui gronde
pas de lumière qui s’annonce
pas même l’ombre d’un phare d’auto
le calme rencontre le chaos
j’ai le bout des doigts qui tremblent
face au gouffre qui m’attend,
qui m’attend
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
j’ai les paupières lourdes
mais le sommeil s’enfuit de moi
une forteresse sous mes draps
et l’ennui craque sous mes pas
et les murs se renferment
la lune n’est plus, le jour se lève
j’ai le cœur en suspens
face à l’aube qui s’étend