Song parody of
Dans Les Yeux
by Khilo
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Si instables sont nos émotions, attends de voir nos écris
Si je stagne, est-ce pour la même raison qui fait qu’on nous méprise?
On est triste certe tu me diras que ça se ressent
On ne maitrise plus rien, tout comme les sectes et les états se ressemblent
Sans casques et sans balles, font face à ceux qui s’en battent
Qui sans foi ni loi, montrent que pour le moindre enrichissement s’emballent
En force, ils détiennent tous ceux qui s’en balancent
La seule entorse serait d’y mettre ceux qui ne sont pas dans ça
On s’avance pour s’arreter une fois contraint
On s’vois dans le train donc impliqué, mais on trinque avec plus d’entrain
Ici on trempe dans tout on satisfait que si l’on trompe... Peut être
Une manière ironique d’être philanthrope
On s’fit aux gros plans ensuite on s’fit aux grosses parts
Trop de pendaisons sont attendus depuis qu’on ose pas
Transparence… Ici on te viole ta race
Demande la rançon aperçois le pouvoir et ses grosses carences
Qui? Voudra s’engraisser sur le long terme
Croyant pouvoir éclairé la planète d’une seul lanterne
Tous voient le monde les yeux ouverts la conscience dans le floue
Tous voient le nom de ceux qui mènent nos enfants dans le four
On se sent atteint que lorsqu’on reçois les coups
On se sent à plaindre que lorsqu’on ressent le tout
On voit l’hypocrisie quand on en parle
Méprise beaucoup ici ce que d’autres n’ont pas
Et puis on s’apitoie que sur des sujets dépourvues de sens
On a vu de quoi mourir sur le champs quand on y repense
Mais même les cieux couvèrent je reste confiant car moi
Je vise dans les yeux ou vers un regard noir
On voit que pensé par sois même est devenue difficile
Et que suivre le mouvement parfois mène au deficite
(Tout le temps)
Un film de boule mais pas celui que t’attends
L’oeil qui tient seul debout sera celui de Satan
La vision s’assombri et l’impression d’y voir plus clair
La puissance à son prix et ceux qui payent n’y ont vu que de l'air
Ca parle d’Hitler et pendant ce temps ça pète les records
Ca fête l’ergonomie mais les relations humaines ont plus que l’air gore
Chut
Laisse faire ceux qui portent le costume adéquat
Laisse faire taire ceux qui n’ont pas les cotes
Laisse moi finir et dire c’que j’ressent
Laisse moi te dire que je suis pire que l’ensemble
J’suis consciens des actions de mes acts et de leurs impacts
Que ceux qui causent la mort des hommes eux demeurent intacts
Laissons nous détruire nos propres bâtiments
Laissons nous mourir de nos propres châtiments
On se sent atteint que lorsqu’on reçois les coups
On se sent à plaindre que lorsqu’on ressent le tout
On voit l’hypocrisie quand on en parle
Méprise beaucoup ici ce que d’autres n’ont pas
Et puis on s’apitoie que sur des sujets dépourvues de sens
On a vu de quoi mourir sur le champs quand on y repense
Mais même les cieux couvèrent je reste confiant car moi
Je vise, dans les yeux ou vers un regard noir
Si instables sont nos émotions, attends de voir nos écris
Si je stagne, est-ce pour la même raison qui fait qu’on nous méprise?
On est triste certe tu me diras que ça se ressent
On ne maitrise plus rien, tout comme les sectes et les états se ressemblent
Sans casques et sans balles, font face à ceux qui s’en battent
Qui sans foi ni loi, montrent que pour le moindre enrichissement s’emballent
En force, ils détiennent tous ceux qui s’en balancent
La seule entorse serait d’y mettre ceux qui ne sont pas dans ça
On s’avance pour s’arreter une fois contraint
On s’vois dans le train donc impliqué, mais on trinque avec plus d’entrain
Ici on trempe dans tout on satisfait que si l’on trompe... Peut être
Une manière ironique d’être philanthrope
On s’fit aux gros plans ensuite on s’fit aux grosses parts
Trop de pendaisons sont attendus depuis qu’on ose pas
Transparence… Ici on te viole ta race
Demande la rançon aperçois le pouvoir et ses grosses carences
Qui? Voudra s’engraisser sur le long terme
Croyant pouvoir éclairé la planète d’une seul lanterne
Tous voient le monde les yeux ouverts la conscience dans le floue
Tous voient le nom de ceux qui mènent nos enfants dans le four
On se sent atteint que lorsqu’on reçois les coups
On se sent à plaindre que lorsqu’on ressent le tout
On voit l’hypocrisie quand on en parle
Méprise beaucoup ici ce que d’autres n’ont pas
Et puis on s’apitoie que sur des sujets dépourvues de sens
On a vu de quoi mourir sur le champs quand on y repense
Mais même les cieux couvèrent je reste confiant car moi
Je vise dans les yeux ou vers un regard noir
On voit que pensé par sois même est devenue difficile
Et que suivre le mouvement parfois mène au deficite
(Tout le temps)
Un film de boule mais pas celui que t’attends
L’oeil qui tient seul debout sera celui de Satan
La vision s’assombri et l’impression d’y voir plus clair
La puissance à son prix et ceux qui payent n’y ont vu que de l'air
Ca parle d’Hitler et pendant ce temps ça pète les records
Ca fête l’ergonomie mais les relations humaines ont plus que l’air gore
Chut
Laisse faire ceux qui portent le costume adéquat
Laisse faire taire ceux qui n’ont pas les cotes
Laisse moi finir et dire c’que j’ressent
Laisse moi te dire que je suis pire que l’ensemble
J’suis consciens des actions de mes acts et de leurs impacts
Que ceux qui causent la mort des hommes eux demeurent intacts
Laissons nous détruire nos propres bâtiments
Laissons nous mourir de nos propres châtiments
On se sent atteint que lorsqu’on reçois les coups
On se sent à plaindre que lorsqu’on ressent le tout
On voit l’hypocrisie quand on en parle
Méprise beaucoup ici ce que d’autres n’ont pas
Et puis on s’apitoie que sur des sujets dépourvues de sens
On a vu de quoi mourir sur le champs quand on y repense
Mais même les cieux couvèrent je reste confiant car moi
Je vise, dans les yeux ou vers un regard noir
