L'Univers

J'ai toujours rêvé d'voir l'univers Que se cache t'il derrière les astres Je ne connais que les désastres Boire des multiples verres Y'a t'il des civilisations duper Comme sur la planète Terre Y a t'il des rites et des passions Des guerres, et des frontières Des concepts et des arts Du rire et des larmes Des types qui prennent leurs armes Pendant que d'autres planent Autour de fleur qui s'fanent Des pétales volants Du petou qui t'calme Des rêveurs, des voleurs, d'la sueur et du sang Que se cache t'il dans les confins de la galaxie Du space cookie au space taxi Sur qu'y'a des taxeurs, et tarie La nature s'est elle, aride Y a t'il des déserts et des plaines Mon imagination d'geysers elle en est pleine Est-ce peine perdu? N'est elle que sur Terre la verdure? J'erre, murées dans l'dur, ces idées la restent et perdurent Pure, mon imagination seule ne pourra pas m'curer Fiévreuse parfois me laisse jusqu'à Mercure m'aventurer J'aime laisser mon esprit imaginer l'infini Le laisser voguer dans des flots d'vie Dans quelques élans de folies J'me dis qu'c'est qu'un Vaudeville Imaginé par êtres moins dociles Est ce possible, ou n'suis-je qu'un imbécile J'aime laisse mon âme traîner dans les étoiles Ca sert a quoi d'être terre à terre C'est dans les nuages que j'tisse mes toiles J'vise pas la lune, J'aimerais juste voir qu'y s'y terre J'm'y perdrai bien, autour d'moi trop d'humains J'suis souvent mieux en solitaire En vrai j'attends l'nouveau Big Bang Pendant qu'je passe l'été au lit Éclaté par météorite Ouais c'est ça ma théorie C'est ptet horrible Mais on l'aura sûrement témérie Les plaintes de la nature audible Face à l'humain trop souvent téméraire Passer de Déméter à des métaux, lourd(s) Dans l'espace qui pourra le démentir Ont-ils déjà crier au s'cours? On ose tout Certains veulent d'jà s'installer sur Mars Si ça c'est pas une belle crasse Partout on laissera une trace J'parle beaucoup, mais moi j'fais pas grand chose J'kifferais m'installer loin dans l'cosmos Dire qu'je suis pas la cause J'poserais mes textes qui Deviendraient interstellaire Crier dans l'vide f'rait Enfin de moi un mec stylé Et je s'rai merciless J'voguerais sur mon navire spatiale Corsaire peniless J'racketterais ceux qui racontent qui dalle Mais plus b'soin d'être spécial Seul perdu dans l'infini Tout n'est qu'un Un est tout Un destin commence tandis qu'un autre se finit J'aime laisser mon esprit imaginer l'infini Le laisser voguer dans des flots d'vie Dans quelques élans de folies J'me dis qu'c'est qu'un Vaudeville Imaginé par êtres moins dociles Est ce possible, ou n'suis-je qu'un imbécile