Song parody of
Les Regards Polymorphes
by Sizyf
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Sous mes regards polymorphes
A l'ombre des chênes
Tu détiens le monde
Toujours borné à l'exil
Mon royaume d'asphalte
S'éloigne en silence
A l'opposé du rivage
Quelques images qui se mêlent au souvenir de la tienne
Été sommaire qui se solde encore une fois sans te plaire
Mélancolie infidèle je te laisse sans regrets
Et nos histoires solidaires se croiseront dans l'éden
Dans la métropole
Que je connais de loin
Où fanent mes entrains
Où survivent mes fantasmes
Du côté de la manche
Où je languis souvent
De n'être plus enfant
Ma voix reste en suspend
Au sixième étage la fenêtre illumine
Le balcon de ma jeunesse
Les idylles abandonnées
Promenade sur Columbia Road
Amour et tabac
Se disputent la flamme
Dans les soupirs qui m'échappent
Je vois ton nom
Dans la métropole
Que je connais de loin
Où fanent mes entrains
Ou survivent mes fantasmes
Du côté de la manche
Où je languis souvent
De n'être plus enfant
Ma voix reste en suspend
Les regards polymorphes
Se confondent et se mentent
Et l'on rit doucement
Sous tes regards polymorphes
L'automne succède
Au trouble éphémère
Et je reprends le chemin
De mon rêve
Sous mes regards polymorphes
A l'ombre des chênes
Tu détiens le monde
Toujours borné à l'exil
Mon royaume d'asphalte
S'éloigne en silence
A l'opposé du rivage
Quelques images qui se mêlent au souvenir de la tienne
Été sommaire qui se solde encore une fois sans te plaire
Mélancolie infidèle je te laisse sans regrets
Et nos histoires solidaires se croiseront dans l'éden
Dans la métropole
Que je connais de loin
Où fanent mes entrains
Où survivent mes fantasmes
Du côté de la manche
Où je languis souvent
De n'être plus enfant
Ma voix reste en suspend
Au sixième étage la fenêtre illumine
Le balcon de ma jeunesse
Les idylles abandonnées
Promenade sur Columbia Road
Amour et tabac
Se disputent la flamme
Dans les soupirs qui m'échappent
Je vois ton nom
Dans la métropole
Que je connais de loin
Où fanent mes entrains
Ou survivent mes fantasmes
Du côté de la manche
Où je languis souvent
De n'être plus enfant
Ma voix reste en suspend
Les regards polymorphes
Se confondent et se mentent
Et l'on rit doucement
Sous tes regards polymorphes
L'automne succède
Au trouble éphémère
Et je reprends le chemin
De mon rêve