Song parody of
Du L'Autre Côté de la Rue
by Edith Piaf
Here's where you get creative! Use our cool song parody creator to make a totally new musical idea and lyrics for the Du L'Autre Côté de la Rue song by Edith Piaf.
Simply click on any word to get rhyming words suggestion to use instead of the original ones. You may also remove or alter entire lines if needed — when you're done save your work and share it with our community — have fun!
Des murs qui se lézardent
Un escalier étroit
Une vieille mansarde
Et me voilà chez moi
Un lit qui se gondole
Une table de guingois
Une lampe à pétrole
Et me voilà chez moi
Mais le soir, quand le cafard me pénètre
Et que mon cœur est par trop malheureux
J'écarte les rideaux de ma fenêtre
Et j'écarquille les yeux
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une belle fille
Qui a tout c'qu'il lui faut et même le superflu
D'l'autre côté d'la rue
Elle a d'l'argent, des bijoux, des voitures
Des bas en soie, des maisons, des fourrures
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, ne belle fille
Si j'en avais le quart, je n'en demanderais pas plus
D'l'autre côté d'la rue
J'le connaissais à peine
On s'était vu trois fois
Mais à la fin d'la semaine il est venu chez moi
Dans ma chambre au septième au bout du corridor
Il murmura "je t'aime" moi j'ai dit "je t'adore"
Il m'a comblée de baisers, de caresses
Je ne désire plus rien entre ses bras
Et quand je vois ses yeux pleins de tendresse
Alors je me dis tout bas
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une pauvre fille
Qui n'connaît rien d'l'amour ni d'ses joies éperdues
D'l'autre côté d'la rue
Elle peut garder son monsieur qu'elle déteste
Ses beaux bijoux, tout son luxe et le reste
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une pauvre fille
Qui regarde toujours, d'un air triste et perdu
D'l'autre côté d'la rue
Des murs qui se lézardent
Un escalier étroit
Une vieille mansarde
Et me voilà chez moi
Un lit qui se gondole
Une table de guingois
Une lampe à pétrole
Et me voilà chez moi
Mais le soir, quand le cafard me pénètre
Et que mon cœur est par trop malheureux
J'écarte les rideaux de ma fenêtre
Et j'écarquille les yeux
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une belle fille
Qui a tout c'qu'il lui faut et même le superflu
D'l'autre côté d'la rue
Elle a d'l'argent, des bijoux, des voitures
Des bas en soie, des maisons, des fourrures
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, ne belle fille
Si j'en avais le quart, je n'en demanderais pas plus
D'l'autre côté d'la rue
J'le connaissais à peine
On s'était vu trois fois
Mais à la fin d'la semaine il est venu chez moi
Dans ma chambre au septième au bout du corridor
Il murmura "je t'aime" moi j'ai dit "je t'adore"
Il m'a comblée de baisers, de caresses
Je ne désire plus rien entre ses bras
Et quand je vois ses yeux pleins de tendresse
Alors je me dis tout bas
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une pauvre fille
Qui n'connaît rien d'l'amour ni d'ses joies éperdues
D'l'autre côté d'la rue
Elle peut garder son monsieur qu'elle déteste
Ses beaux bijoux, tout son luxe et le reste
De l'autre côté d'la rue
Y a une fille, une pauvre fille
Qui regarde toujours, d'un air triste et perdu
D'l'autre côté d'la rue