Lyrics:
La mode souffre d’inconstance
Je plaide la légitime dépense
Je pourrai tuer pour un string
Je suis crazy du shopping
J’suis boulimique, j’suis
J'ai dû revenir d'un sommeil où j'avais hiberné
et me réveiller en fin d'été
J'ai ton visage Angélique,
Tes idées démoniaques
Ces journées toutes
Même en mode club, les connards on les démode.
95, Val d'Oise! Dédicace à mon enseigne!
Représente les bords de Seine !
Donne le ton aux affamés en
Fin d'un chapitre, début de la vraie vie
Et, les pages d'un nouveau livre nous attendent à la sortie
Mais parlant du vivre qu'en est-il du répit ?
comme on nous l'a appris
M'aimeras-tu, le JALFDM, le JALFDM
Le matin d'une toute nouvelle vie
M'aimeras-tu
Vi-vi-vivez vos rêves, vos rêves, oooooh x2
Le premier métro
S’en va dans la nuit
Un bon café chaud
Avant d’aller au lit
C’est tous les matins
La même musique
Train-train quotidien
Piano
J’avais ton coeur, il a rétréci
J'avais faim, tu m'as bien servi
Envie de danger et je t'ai trouvée
Envie d'aventure, j’en ai bavé
Besoin de rire
a vu le jour
Dans la nuit
C'est comme si
Un tremblement d'terre
Un volcan, un raz-de-marée
Me secouaient de la tête aux pieds
Le long de la Voie
abyss
I still can't grasp the reasons why
Did you forget how hard we tried
It was supposed to be me and you
Adversity? We'd push right through
These
you
I'd drive a thousand miles
Through the night to get to you
At times, we got so blind
We lost our minds and you played the fool
People sit
J'ai moins peur de la mort
Que d'allumer la télé
Je serai jamais d'accord
Avec mes frères je suis désolé
Si on vient plus à Noël
Le prends pas
Rêver tout haut
D'une île des Caraïbes
Et Paris sur cette île
Les pieds dans l'eau
J'entends d'autres musiques
J'vois des filles en maillot
Magique
tu f'rais mieux d'aller travailler
Aaaaaaaaaaaaa alors je fais comme si de rien n'était c'est mieux comme ça
va même si je sais que y'a des fois oû je
J'ai toujours rêve d'être un pionnier
Un fier aventurier
Fou de chevauchées sauvages
En cavale
J'ai toujours rêvé d'être un gringo
Vivant
son d'cloche du troupeau
Cavalcade de grelots
Carabins, présentez carabines
Ça canarde embuscade
Siphonné du ciboulot
Le monde est flou,
IL Y A LONGTEMPS
Je me souviens d'une vie dont je faisais partie
Il y a longtemps, tellement de temps
La chaleur de l'amour nous protégeait de tout
petite amie
Quand ell\' se promène
Sur les quais d\'la Seine
Ça me fait d\'la peine
On voit plus la Seine
On ne voit plus qu\'elle
Elle est belle et mon
vies sont faites
De chagrins et de fêtes
D’être ou de ne pas être
Et de linge aux fenêtres
Où sont nos certitudes
Enrobées d’illusion
Nos cris de
(et Dieu)
Il me semblait
Nous appuyait du haut de l’éther
Libéré par vos joies infinies
Votre consistant respect d’autrui
En nous s’épanouit
La paix
Maison de faire dans le misérabilisme. On n'était
pas Cosette ou bien l'ami VALJEAN. Il était hors de question pour nous d'être dans cette position. N'en
qu'ils auditent
Des stock-options dans tout ce qu'ils profitent
Y'a de la main d'oeuvre pas chère, dans tout ce qu'ils espèrent
C'est, c'est, c'est,
naufrage,
Les souv'nirs gais
Sont de passage.
L'automne présage
Des jours mauvais.
O le bel âge
S'en est allé…
Pourtant là-haut,
D'ma citadelle,
J'entends
LE CAPITAINE BOUDE
Sur son bateau l’aigle des mers
Pavillon noir et tête de mort
Le capitaine affreux corsaire
Vient d’aborder un galion chargé
low, it's too fast, too slow. It's any way the wind blows
I'd of given you the sun the moon the stars, to be right where you are, but God knows you
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